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Une grandiose parade haute en couleur a ouvert, jeudi soir, le bal de la 25ème édition du Festival Gnaoua et musiques du monde, placée sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Cette déambulation dansée, animée par des rythmes gnaouis et autres arts folkloriques, a sillonné les ruelles de l’ancienne médina d’Essaouira, offrant un spectacle exceptionnel aux milliers de festivaliers venus des quatre coins du monde, afin de célébrer ensemble le lancement en grande pompe de cette fête de la musique.
Mettant à l'honneur la richesse et la diversité du folklore marocain, cette traditionnelle parade qui raconte l'histoire d'un riche héritage culturel ancestral, a donné le ton de trois jours de festivités avec des soirées mémorables et des rencontres inédites.
Véritable moment d’allégresse et de convivialité, cette inauguration s'est déroulée en présence notamment du Conseiller de SM le Roi et président fondateur de l’Association Essaouira-Mogador, André Azoulay, du ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, de l'ancien chef du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, du wali de la région de Marrakech-Safi, du président de la région de Marrakech-Safi, d'élus, de la directrice et productrice du festival, Neila Tazi, ainsi que d’éminentes personnalités de divers horizons.
S’exprimant à cette occasion, M. Bensaid a souligné que le Festival Gnaoua d'Essaouira, qui ne cesse de gagner en notoriété, a donné une dynamique positive à cette cité millénaire, en passant d'une ville touristique à une ville culturelle par excellence qui promeut la diversité et le dialogue interculturel.
Mettant en avant l'importance de ce rendez-vous artistique de grande envergure à l'échelle nationale et internationale, le ministre a insisté sur l'importance de l'investissement dans la culture, comme étant un levier au service du développement et de la paix.
Dans ce sens, il a relevé que son département est fortement engagé pour appuyer le Festival Gnaoua d'Essaouira, aux côtés d'autres festivals qui enrichissent la scène artistique et culturelle nationale.
De son côté, Mme Tazi a indiqué que le Festival Gnaoua est devenu un événement historique témoignant de la singularité et de la diversité de la culture marocaine dans le paysage artistique mondial et une véritable école favorisant les valeurs de tolérance et de coexistence entre les cultures.
Cette manifestation culturelle qui a réussi à mettre en avant l'art et la culture Gnaoua, attire des artistes de renom et un large public des quatre coins du monde, faisant de la musique un langage universel, a-t-elle souligné.
A cet égard, elle a estimé que l'inscription de la culture Gnaoua en tant que patrimoine immatériel mondial de l'UNESCO représente une reconnaissance internationale de sa valeur artistique et culturelle dans un pays où l'industrie culturelle et créative est devenue un facteur de croissance économique, conformément aux Hautes Directives de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Elle a, en outre, précisé que l'engagement du Maroc à préserver le patrimoine culturel national et à assurer son rayonnement à l'international traduit l'intérêt qu'accorde Sa Majesté le Roi à l'importance de renforcer l'identité marocaine et à s'ouvrir sur les différentes cultures, ajoutant que ce festival a prouvé que la culture n'est pas un luxe, mais une véritable force et un levier essentiel pour le développement.
Il s’agit, en effet, d’un prélude d’une parenthèse exceptionnelle, où le temps s’arrête laissant place à une communion rare, à travers laquelle artistes internationaux, maâlems gnaoua, jeune public, familles, mélomanes et visiteurs étrangers vivent une expérience musicale et sensorielle unique dans une ville qui a érigé la tolérance en art de vivre.
Cette édition, qui illumine le ciel de la cité des alizés du 27 au 29 juin, accueille plus de 400 artistes à l’occasion de 53 concerts au total. Une programmation foisonnante et avant-gardiste, qui place les fusions au cœur de son dispositif et propose au public un large éventail de musiques et d’expérimentations sonores originales. Cette année ne déroge pas à la règle.
Avec des têtes d’affiche inédites au Maroc, le Festival Gnaoua promet des nuits mémorables où des sons enfiévrés venus des quatre coins du monde déferleront sur la cité des alizés. Buika (Espagne), Saint Levant (Palestine), The Brecker Brothers Band Reunion (Etats-Unis), Labess (France, Algérie) et Bokanté (Etats-Unis, Guadeloupe) sont quelques-unes des têtes d’affiche de cette 25ème édition.
Flamenco, blues, jazz, musique orientale, rap, rumba gitane, chaâbi, … le Festival affirme, plus que jamais, son caractère éclectique qui l’a imposé comme un rendez-vous incontournable dans l’agenda du monde des musiques.
Parallèlement aux concerts se tiendra la 11ème édition du Forum des droits humains du Festival Gnaoua et musiques du monde, organisé en partenariat avec le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger autour de la thématique "Maroc, Espagne, Portugal : une histoire qui a de l’avenir".
Cette déambulation dansée, animée par des rythmes gnaouis et autres arts folkloriques, a sillonné les ruelles de l’ancienne médina d’Essaouira, offrant un spectacle exceptionnel aux milliers de festivaliers venus des quatre coins du monde, afin de célébrer ensemble le lancement en grande pompe de cette fête de la musique.
Mettant à l'honneur la richesse et la diversité du folklore marocain, cette traditionnelle parade qui raconte l'histoire d'un riche héritage culturel ancestral, a donné le ton de trois jours de festivités avec des soirées mémorables et des rencontres inédites.
Véritable moment d’allégresse et de convivialité, cette inauguration s'est déroulée en présence notamment du Conseiller de SM le Roi et président fondateur de l’Association Essaouira-Mogador, André Azoulay, du ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, de l'ancien chef du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, du wali de la région de Marrakech-Safi, du président de la région de Marrakech-Safi, d'élus, de la directrice et productrice du festival, Neila Tazi, ainsi que d’éminentes personnalités de divers horizons.
S’exprimant à cette occasion, M. Bensaid a souligné que le Festival Gnaoua d'Essaouira, qui ne cesse de gagner en notoriété, a donné une dynamique positive à cette cité millénaire, en passant d'une ville touristique à une ville culturelle par excellence qui promeut la diversité et le dialogue interculturel.
Mettant en avant l'importance de ce rendez-vous artistique de grande envergure à l'échelle nationale et internationale, le ministre a insisté sur l'importance de l'investissement dans la culture, comme étant un levier au service du développement et de la paix.
Dans ce sens, il a relevé que son département est fortement engagé pour appuyer le Festival Gnaoua d'Essaouira, aux côtés d'autres festivals qui enrichissent la scène artistique et culturelle nationale.
De son côté, Mme Tazi a indiqué que le Festival Gnaoua est devenu un événement historique témoignant de la singularité et de la diversité de la culture marocaine dans le paysage artistique mondial et une véritable école favorisant les valeurs de tolérance et de coexistence entre les cultures.
Cette manifestation culturelle qui a réussi à mettre en avant l'art et la culture Gnaoua, attire des artistes de renom et un large public des quatre coins du monde, faisant de la musique un langage universel, a-t-elle souligné.
A cet égard, elle a estimé que l'inscription de la culture Gnaoua en tant que patrimoine immatériel mondial de l'UNESCO représente une reconnaissance internationale de sa valeur artistique et culturelle dans un pays où l'industrie culturelle et créative est devenue un facteur de croissance économique, conformément aux Hautes Directives de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Elle a, en outre, précisé que l'engagement du Maroc à préserver le patrimoine culturel national et à assurer son rayonnement à l'international traduit l'intérêt qu'accorde Sa Majesté le Roi à l'importance de renforcer l'identité marocaine et à s'ouvrir sur les différentes cultures, ajoutant que ce festival a prouvé que la culture n'est pas un luxe, mais une véritable force et un levier essentiel pour le développement.
Il s’agit, en effet, d’un prélude d’une parenthèse exceptionnelle, où le temps s’arrête laissant place à une communion rare, à travers laquelle artistes internationaux, maâlems gnaoua, jeune public, familles, mélomanes et visiteurs étrangers vivent une expérience musicale et sensorielle unique dans une ville qui a érigé la tolérance en art de vivre.
Cette édition, qui illumine le ciel de la cité des alizés du 27 au 29 juin, accueille plus de 400 artistes à l’occasion de 53 concerts au total. Une programmation foisonnante et avant-gardiste, qui place les fusions au cœur de son dispositif et propose au public un large éventail de musiques et d’expérimentations sonores originales. Cette année ne déroge pas à la règle.
Avec des têtes d’affiche inédites au Maroc, le Festival Gnaoua promet des nuits mémorables où des sons enfiévrés venus des quatre coins du monde déferleront sur la cité des alizés. Buika (Espagne), Saint Levant (Palestine), The Brecker Brothers Band Reunion (Etats-Unis), Labess (France, Algérie) et Bokanté (Etats-Unis, Guadeloupe) sont quelques-unes des têtes d’affiche de cette 25ème édition.
Flamenco, blues, jazz, musique orientale, rap, rumba gitane, chaâbi, … le Festival affirme, plus que jamais, son caractère éclectique qui l’a imposé comme un rendez-vous incontournable dans l’agenda du monde des musiques.
Parallèlement aux concerts se tiendra la 11ème édition du Forum des droits humains du Festival Gnaoua et musiques du monde, organisé en partenariat avec le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger autour de la thématique "Maroc, Espagne, Portugal : une histoire qui a de l’avenir".